Motus et bouche cousue

Pigment print, framed, 73 x 55 cm

1989, Nice (France)

 

FR

Mirial se sert du corps comme témoin mais surtout comme d’une feuille de papier, le renvoyant à sa première passion : le dessin. Il y couche ainsi ses craintes, ses désirs et ses idées… Ces corps nus, il les « collectionne », et au gré des inspirations, leur offre un message à délivrer… C’est alors la naissance d’un nouveau tableau. Sa démarche est toujours très personnelle, cherchant constamment à imposer ses propres techniques telle que la photographie souterraine, et utilisant en tant que seule lumière le néon, rejeté par les photographes. Mais la photographie n’est qu’un médium pour cet artiste autant préoccupé par le message et l’émotion que par l’esthétique. La finalité de l’œuvre ne se limite ainsi pas à son graphisme. Elle ouvre une porte vers un univers imaginaire, un mirage, peut être la réminiscence d’un rêve oublié.

Anthony Mirial, né à l’aube de ce XXIe siècle, ne pratique pas le blasphème. Il montre dans sa réalité la plus cruelle ce que le détournement du sacré par des fanatiques et des politiques folles ou aveugles peut entraîner d’actes blasphématoires, atroces, menaçant le développement et l’avenir de l’humanité.

D’une beauté époustouflante, d’une grande sensibilité, pleine d’émotion à fleur de peau et d’entrailles, son œuvre tient un langage vrai, extraordinairement contemporain, qui nous claque le regard et la pensée convenue, et marque déjà de son empreinte si particulière l’histoire de l’art de notre époque.

 

EN

Mirial uses the body as a witness but especially as a sheet of paper, referring to his first passion: drawing. He lays down his fears, his desires and his ideas ... These naked bodies, he "collects" them, and according to inspirations, offers them a message to deliver ... It is then the birth of a new painting. His approach is always very personal, constantly seeking to impose his own techniques such as underground photography, and using as a single light the neon, rejected by photographers. But photography is only a medium for this artist so concerned by the message and the emotion than by the aesthetics. The purpose of the work is not limited to its graphics. It opens a door to an imaginary universe, a mirage, can be the reminiscence of a forgotten dream.

Anthony Mirial, born at the dawn of the twenty-first century, does not practice blasphemy. It shows in its most cruel reality that the hijacking of the sacred by fanatics and mad or blind policies can lead to blasphemous, atrocious acts, threatening the development and the future of humanity.

A breathtaking beauty, a great sensitivity, full of emotion on the skin and bowels, his work holds a true language, extraordinarily contemporary, which slaps the gaze and thought agreed, and already marks his so special an imprint of the history of the art of our time.

International art fairs

2019 – Biennale de l’UNAM

2018 – Galerie Mark Hachem, Paris (France), Galerie Hurtebize, Cannes (France)

2017 – Arte Al Limite, Chili, Galerie Mark Hachem, Beyrouth (Liban)

2016 – Riviera Gallery, nice (France)

2012 – Galerie Maud Barral, Nice (France), Galerie Hubert Konrad, Paris 8e, Galerie lila Gassin, Nice (France)

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